« Scolarisé à Sarcelles, j’avais en tête dès le collège de faire une école d’ingénieur. Mais cela représentait des ressources financières que nous n’avions pas à la maison. J’ai donc cherché sur internet les bourses auxquelles je pouvais prétendre.
Grâce à la Fondation, j’ai pu entamer sereinement ma prépa.
Yann Le Coniac, mon parrain [ancien collaborateur de Bouygues Construction, NDLR], m’a aidé à prendre confiance en moi et m’a ouvert des portes. J’ai notamment effectué mon stage ouvrier sur le chantier de la Philharmonie de Paris. Par la suite, un stage en Californie et un VIE (Volontariat international en entreprise) en Malaisie ont élargi mes horizons.
Ma première motivation pour devenir filleul était financière. Une décennie plus tard, la Fondation m’a apporté beaucoup plus.
À un jeune qui postulerait, je lui dirais que la Fondation est un premier tremplin et que le soutien moral qu’elle représente a autant de valeur que son soutien financier. »